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La fièvre de la création est dans son sang et le consume. De la musique au théâtre, Cheikh Modou SECK, dit « Atoutou Â», est un touche-à-tout. C'est pourquoi il aime bien se définir comme un « polyvalent de l'art Â».

 

            Son passage à l'émission « SUPERSTAR Â» sur la chaîne RTS1 en 2009 lui a permis d’en tirer  « beaucoup d'expérience Â» et donner ainsi des ailes à ses ambitions. Entre Atoutou et l'art, c'est une histoire d'amour pleine de rebondissements.

Né il y a 28 ans dans la capitale du rail, à Thiès, Mamadou Lamine SECK, plus connu sous le sobriquet « Atoutou Â», est issu d'une famille polygame avec de nombreux demi-frères et demi-sÅ“urs.

Dès le bas âge, le virus de la musique l'a piqué. Au lycée, Atoutou participe à tous les événements artistiques organisés au sein de l'établissement scolaire.

Sa passion pour la guitare, il l'a eue de manière tout aussi précoce. « C'est en 1999 que j'ai senti le besoin de m'enrichir d'autres formes musicales, raconte ce Baay Fall qui chante des poèmes religieux depuis l'âge de 7 ans.

Je voyais un de mes oncles jouer la guitare avec beaucoup de passion et je me suis vite intéressé à cet instrument. Il m'a appris à le manipuler. J'ai vraiment adoré Â». Au début, poursuit le jeune artiste, jouer de la guitare signifiait « passer du bon temps Â».

Avec le temps, de petits textes sont venus accompagner ses notes. Atoutou a compris que la carrière de chanteur rime avec une belle voix et bien portante. C'est pourquoi il n'a pas « hésité Â» à rendre sa voix beaucoup plus « fluide Â». Mais le choix du jeune homme de faire de la musique un métier ne fut guère apprécié par la famille qui lui intime l'ordre de poursuivre ses études. Il se résigne tout en gardant à chaud son amour de la musique.            Il voulait la « bénédiction des siens Â» avant d'entamer sa carrière musicale.

Il décroche le Bac en 2006, mais n'est pas orienté au département d'Anglais de l'université de Dakar, comme il le souhaitait. Il s'inscrit alors à l'Ecole Nationale des Arts de Dakar pour devenir professeur de musique. Encore étudiant en troisième année pour devenir professeur de musique, Atoutou veut explorer des sonorités musicales inconnues sur le marché international.

« C'est mon passage au concours télévisé Superstar en 2009, qui a lancé ma carrière artistique Â», dit-il. Demi-finaliste de ladite compétition, Atoutou se glorifie de l'expérience acquise durant l'émission. « Les organisations nous ont filés beaucoup de tuyaux pouvant faciliter notre entrée dans le monde musical Â», déclare-t-il. Ses amis comédiens, avec qui,       il a joué dans la pièce La Cruche cassée, le décrivent comme quelqu'un qui aime se surpasser.    Ils déclarent qu’il est prêt à franchir tous les obstacles pour arriver à ses fins.

Le Baye Fall ne compte pas décevoir son entourage. Son ambition est nourrie par les efforts de recherches qu'il mène sur différentes sonorités africaines et européennes. Car pour Atoutou, « seul le métissage peut permettre à la musique sénégalaise de s'imposer sur   le plan international Â».

Après s’être frotté au cinéma, au théâtre et la musique acoustique qui est son domaine de prédilection, Atoutou vient de sortir un singlequi a bien cartonné.     En prélude de la sortie imminente de son premier album, Atoutou vient de mettre en place un label dénommé « Tiapi Tiapi Prod Â» qui l’accompagne sur le plan de la communication et l’organisation d’évènementiels.

Atoutou, c'est  aussi une longue histoire avec les enfants , d’ailleurs son nom d’artiste, lui a été donné par son petit neveu de trois ans qui avait des difficultés de prononcer son nom « Cheikh Modou Â» par déformation de la langue du jeune est devenu « Atoutou Â»,    c’est pourquoi les enfants  ont très vite adopté son single nouveau qu’ils consomment       sans modération, tandis que les adultes aussi, ne se laissent pas indifférents par cette musique acoustique, bien dosée  de « ndiaxass» modernité et tradition avec des sonorités bien de chez nous. 

il revient sur la scéne  musicale sénégalaise en 2015 avec son deuxiéme single takkal kumeneu seuy qui veut dire "marie toi avec une bonne femme" ,et prépare actuellement son premier album   conçu comme un voyage dans le multiples de sonorités africaines.

The fever of creation is in his blood and consume. From music to theater, Cheikh Modou Seck says "Atoutou" is a jack-of-all. That's why he likes to define itself as a "versatile of art".
 
            His transition to the program "SUPERSTAR" on RTS1 chain in 2009 allowed him to draw "a lot of experience" and so give wings to his ambitions. Between Atoutou and art, it is a love story full of twists.
Born 28 years ago in the capital of the rail, in Thies, Mamadou Lamine Seck, better known by the nickname "Atoutou" comes from a polygamous family with many half-brothers and half-sisters.
From an early age, the virus of the music piqued. In high school, Atoutou involved in all artistic events organized within the school.
His passion for the guitar, he had an equally early. "In 1999 I felt the need to enrich myself other musical forms, tells what Baay Fall singing religious poems since the age of 7 years.
I saw one of my uncles play guitar with great passion and I quickly interested in this instrument. He taught me to handle it. I really loved. " At first, says the young artist playing guitar meant "good time."
Over time, small text came accompany his notes. Atoutou understood that singing career rhymes with a beautiful voice and healthy. That's why he did not "hesitate" to make its voice far more "fluid". But the choice of the young man make music a profession was hardly appreciated by the family who ordered him to continue his studies. He is resigned while keeping warm his love of music. He wanted the "blessing of his" before starting his musical career.
He picks up the Bac in 2006 but is not oriented to the English Department at the University of Dakar, as he wished. He then enrolled in the National School of Arts in Dakar to become a music teacher. Yet a third year student to become a music teacher, Atoutou wants to explore unknown musical sounds on the international market.
"This is my time in TV contest Superstar in 2009, that launched my artistic career," he said. Semifinalist said competition Atoutou boast the experience gained during the program. "Organizations have spun us a lot of pipes that can facilitate our entry into the world of music," he says. His friends actors, with whom he played in the play The Broken Jug, describe him as someone who likes to excel. They say it is ready to overcome all obstacles to achieve his ends.
The Baye Fall does not intend to disappoint his entourage. Its ambition is fueled by research efforts it carries out different African and European sounds. Because for Atoutou, "only the interbreeding may allow Senegalese music to establish itself internationally."
After rubbing the cinema, theater and acoustic music that is his chosen field, just released a Atoutou has singlequi card. As a prelude to the imminent release of his first album, Atoutou just set up a label called "Tiapi Tiapi Prod" accompanying in terms of communication and event-organizing.
Atoutou is also a long history with the children, besides his artist name, given to him by his great nephew of three years had difficulty pronouncing his name "Cheikh Modou» by deformation of the tongue Young became "Atoutou" that is why children have quickly adopted the new single they consume without moderation, while adults too, does not leave indifferent by this acoustic music right amount of "ndiaxass" modernity and tradition with homegrown sounds.
he returns to the Senegalese music scene in 2015 with her second single Takkal kumeneu seuy meaning "married you with a good woman," and is currently preparing his first album conceived as a journey through multiple African sounds

 

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